2006
Le Parc participe à l’exposition « The Sites of Latin American Abstraction » à la Cisneros Fontanals Art Fondation (CIFO) de Miami. Le grand mobile présenté à la Biennale de Paris en 1963, qui mesure 7 x 17 mètres, entre dans la prestigieuse collection, et est installé dans le jardin à l’entrée du CIFO. Il est désormais présent dans ce lieu privilégié, grâce à la collaboration de Yamil Le Parc et d’Elizabeth Le Parc (Eli), qui travaille désormais pour l’atelier Le Parc.
Avec Rogelio Polesello et Cristina Guzman, Buenos Aires, 2006
Avec l’architecte Guillermo Merega, Buenos Aires, 2006
Avec Clary et Roger Haloua, Buenos Aires, 2006
Avec Julieta Giargullo, Mendoza, 2006
Avec Oscar Smoljan et son épouse, Neuquen, 2006
2007
Le Parc assiste au vernissage de l’exposition « Lo(s) Cinético(s) » qui se tient au musée national centre d'art Reina Sofía. Comme chaque fois, l’exposition réunit plusieurs artistes qui utilisent une technique similaire, sans prendre en compte les préoccupations spécifiques des uns et des autres.
Le Parc se rend à Bogota, en Colombie, pour son exposition « Le Parc Lumière », cette fois montrée dans les salles Luis Ángel Arango de la banque nationale de Colombie, simultanément et en complément d’une autre exposition personnelle à la galerie La Cometa.
Les liens se renforcent avec la galerie Nara Roesler : Le Parc se rend à São Paulo pour une exposition personnelle. Nouvelle rencontre avec le milieu artistique.
Yamil Le Parc entre dans l’atelier Le Parc, donnant une nouvelle impulsion à l’atelier et à la promotion et l’organisation de l’œuvre de son père.
Avec Carlos Granada, Colombie, 2007
Avec José Jaramillo, Colombie, 2007
2008
Le Parc voyage à Saint-Sébastien pour une exposition Daros à La Tabacalera.
Réunissant pour la première fois un petit nombre de ses œuvres bidimensionnelles de 2 x 2 mètres, réalisées d’après ses expériences de 1958 et de 1959, Le Parc réalise une exposition à la galerie Argentina, à Paris.
Pour célébrer ses 80 ans, Le Parc organise, avec ses petits-enfants et sa famille, une fête dans son atelier de Cachan, désormais agrandi et rénové. C’est l’occasion de chaleureuses retrouvailles avec des compagnons et des amis rencontrés à différentes périodes de sa vie, qui l’aident à souffler les 80 bougies disposées autour du gâteau maison de quatre mètres de long.
Avec Enrique Careaga, Cachan, 2008
2009
Le Parc est invité à réaliser une de ses Torsions de vingt mètres de haut dans la ville de Monterrey, au Mexique. Il fait don de l’œuvre à la ville.
Nouveau voyage à La Havane, pour célébrer « l’année cinétique » organisée par la Casa de las Américas. Redécouverte de la réalité cubaine et de ses changements. Mariano Rodríguez n’est plus là (il est mort en 1990).
Avec Makco Mestrovich, Karlsruhe, 2009
Avec Lélia Mordoch, Paris, 2009
Avec Valmore, Paris, 2009
Avec Fernando Retamar, Casa de las Americas, La Havane, 2009
Avec Juan Moreira, Alicia Leal et Yamil, La Havane, 2009
Avec Lesbia, La Havane, 2009
Casa de las Americas, La Havane, 2009
Avec l’équipe de réalisation de la sculpture, Monterrey, 2009
Réunion des artistes latino-amèricains avec Estrellita et Denise René, Paris, ambassade d’Angletterre, 2009
2010
Gabriel Le Parc réalise un film intitulé Le Parc Lumière, sur la collection Le Parc à Daros.
Le Parc voyage avec Yamil dans différentes villes nord-américaines, notamment à Los Angeles, où il participe à l’exposition « Suprasensorial, Experiments In Light, Color, and Space », qui a lieu au Museum of Contemporary Art. Le Parc y présente son installation « Lumière en mouvement », sous le commissariat d’Alma Ruiz.
À la demande de Jean-Louis Pradel, il participe à l’exposition « Juste une étincelle ». Il y présente notamment l’œuvre « Continuel-Lumière Cylindre au Plafond ».
À Buenos Aires, au centre culturel Borges situé dans les galeries Pacífico, Le Parc installe un grand mobile transparent polyèdre et rend hommage avec une œuvre de « passage d’images » aux muralistes des galeries Pacífico.
En vue d’un court-métrage qui doit s’intituler « Buenos Aires te quiero », Claudio de Groppo et Le Parc réalisent plusieurs prises avec un dispositif conçu par ce dernier qui inclut une caméra vidéo. Le Parc met en marche l’idée d’une installation composée de plusieurs vidéos qui s’intitulerait « Le Parc quién ».
Gabriel réalise la version définitive d’Historietas.
Avec Morellet et Garcia Rossi, Cholet, 2010
Avec Ella Cisneros Fontanals, Bonn, 2010
Avec Luis Felipe Noé, Buenos Aires, 2010
Avec Teresita Anchorena, Buenos Aires, 2010
Avec Claudio Groppo, Buenos Aires, 2010
Avec Laura Marquez, New York, 2010
Avec Pascual Ruggero, Yamil et Pati Ruggero, New York, 2010
Avec Laurent Le Bon, Metz, 2010
Avec Matieu et Rougemont, Camargue, 2010
Avec sa cousine, Los Angeles, 2010
Avec des anciens compagnons du mouvement des étudiants des Beaux-Arts, Buenos Aires, 2010
Avec Cristina Rossi, Buenos Aires, 2010
Avec Alma Ruiz, Los Angeles, 2010
2011
Exposition individuelle à la galerie Bugada & Cargnel à Paris, organisée par Matthieu Poirier et intitulée « L’Œil du cyclope ».
Le Parc travaille avec beaucoup d’entrain pour sa participation à l’exposition « Erre, variations labyrinthiques » au Centre Pompidou-Metz. Il y présente des œuvres lumineuses dans des salles personnelles. Suite à cette exposition, Jean de Loisy, directeur du Palais de Tokyo, lui propose de faire une exposition deux ans plus tard dans l’emblématique Palais de Tokyo, juste rénové.
Avec Guillaume Désanges et Hélène Guenin, Cachan, 2011
Avec Eugenio Valdéz et Iole de Freitas, Rio de Janeiro, 2011
Avec Abraham Palatnik, Rio de Janeiro, 2011
2012
Le Parc se rend à Washington pour son installation dans l’exposition « Suprasensorial » au Hirshorn Museum, sous le commissariat d’Alma Ruiz et de Valerie Fletcher.
Répondant à la proposition de Aeropuertos Argentina 2000 de lui rendre hommage, Le Parc réalise deux installations à arteBA, sous le commissariat de Yamil Le Parc.
Voyage à Rome pour l’exposition « Arte Programata e Cinética » à la galerie nationale d’art moderne.
Medoza, ville natale de Julio Le Parc, construit un centre culturel d’art moderne, et propose à Le Parc de lui donner son nom. Le Parc donne au centre culturel une sphère rouge mobile de 6 mètres de diamètre qui est disposée dans le hall d’entrée. Le Parc assiste ému au vernissage du lieu, en présence de très nombreux visiteurs, et lit un texte-poème écrit pour l’occasion.
Invité à participer à la Nuit blanche, à Paris, Le Parc réalise deux interventions. La première, dans le centre Beaugrenelle, est une installation dans laquelle on peut entrer, avec des jeux de tulle et de lumière, qui s’intitule « Lumière en vibration ». La seconde est une installation lumineuse qui crée des jeux de lumières sur la grande obélisque de la place de la Concorde. Malheureusement, de nouveaux membres du GRAV disparaissent : Joël Stein et Horacio Garcia Rossi.
Avec Piza et Raquel Arnaud, Paris, 2012
Avec Quino (Mafalda), Mendoza, 2012
Inauguration du Centre culturel Le Parc, Mendoza, 2012
2013
Après un travail acharné pour concevoir l’exposition au Palais de Tokyo, à Paris, et avec la collaboration de la commissaire d’exposition Daria de Beauvais, du directeur Jean de Loisy, et le conseil artistique de Yamil Le Parc, Julio Le Parc finalise la liste des œuvres et le plan d’exposition de cette formidable exposition monographique. Sur plus de 2000 m2, incluant de grandes réalisations, l’exposition reçoit presque 200 000 visiteurs en trois mois. Parallèlement, d’autres expositions ont lieu dans des galeries de la ville : les galeries Lelia Mordoch, Bugada & Cargnel et Denise René, ainsi qu’une exposition de multiples à la galerie GDM, sous le commissariat de Yamil Le Parc.
Hans Ulrich-Obrist réalise un entretien avec Julio Le Parc pour le livre édité par Skira-Flammarion. Arnaud Pierre et Jean-Louis Pradel écrivent tous les deux pour le livre.
Flammarion édite un livre important intitulé Julio Le Parc.
L’œuvre collective « La Torture » est présentée en parallèle à l’exposition de Le Parc au Palais de Tokyo, avec la collaboration d’Amnesty International.
Une grande exposition intitulée « Dynamo, Un siècle de lumière et de mouvement dans l’art », sous le commissariat de Serge Lemoine, a lieu au Grand Palais. Pour l’exposition, Le Parc collabore activement à la reconstruction du Labyrinthe du GRAV présenté à la Biennale de Paris en 1963 et présente un nombre important d’œuvres personnelles.
Sollicité par les éditions Jannink, Le Parc reprend ses réponses au musée Cholet de l’année 2000, et publie un petit livre intitulé « Voleur de paroles », illustré par lui.
Il se rend au Brésil pour son exposition personnelle à la galerie Nara Roesler de São Paulo, sous le commissariat d’Estrellita Brodsky, et pour une exposition à la galerie Carbono, dont Yamil est le commissaire. Il va ensuite à Rio pour sa grande exposition « Le Parc Lumière » à la Casa Daros.
Une œuvre de 2 x 6 mètres de la série Alchimies est présentée dans la grande exposition d’un des maîtres du pointillisme : « Signac, Les Couleurs de l’eau » au musée Fabre, à Montpellier.
Mort de son grand ami et spécialiste de son œuvre: Jean-Louis Pradel.
Troisième version du site Internet de Julio Le Parc.
Avec la famille Morellet et Eli, Paris, 2013
Avec Jean de Loisy, Paris 2013
Avec Santiago et Juan (Ainoko), Paris, 2013
Avec Yumiko et Roberto Plate, Paris, 2013
Avec Anish Kapoor, Venise, 2013
Avec Chus Burés, Paris, 2013
Avec Daniel Roesler, Yamil et Alexandre Roesler, São Paulo, 2013
Flavio Magallanes et Yamil, São Paulo, 2013
Avec Luis Tomasello, Christian Boltanski, Martha et Yamil, Paris, 2013
Avec les Morellet, Matthieu Poirier et Servulo Esmeraldo, Paris, exposition Dynamo, Grand Palais, 2013
Avec Serge Lemoine, Paris, Grand Palais, 2013
Julio Le Parc, Continuel-Lumière, Palais de Tokyo © Yamil Le Parc
2014
Première grande exposition individuelle au Royaume Uni, à la galerie Serpentine de Londres, où Le Parc présente ses installations immersives de lumière, des jeux interactifs et, à la demande de Hans Ulrich Obrist, un grand ensemble de ses dessins (dessins au téléphone, projets, caricatures, dessins politiques, etc.) — ce qui donne lieu à la publication un livre.
Un grand « Continuel-Lumière-Cylindre » appartenant à la collection Pinault est exposé à l’occasion de l’exposition « The Illusion of Light » au Palazzo Grassi, à Venise.
Un grand « Déplacement » de Le Parc fait partie de l’exposition « Phares » au Centre Pompidou-Metz.
Le Parc bataille en vain avec les responsables de Daros et du MALBA, à Buenos Aires, pour obtenir que son exposition dans le musée ait un sens. À cause de l’ostracisme de certains commissaires d’exposition, ce qui aurait pu être une exposition des quarante-et-une œuvres de Le Parc issues de la collection Daros, ce qui aurait mis en évidence l’esprit d’expérimentation de Le Parc, se trouve réduite comme peau de chagrin, et seulement quatorze œuvres sont présentées — avec une prétendue délicatesse. L’insistance de Yamil conduit du moins à ce que, en dehors des salles d’exposition, d’autres œuvres de son père soient montrées, dont une monumentale sphère jaune de 6 mètres de diamètre, dans le hall du MALBA. À cette occasion, Le Parc Lumière est édité en espagnol.
Invité à participer à « White Night » à Melbourne, en Australie, Le Parc envoie Eli Le Parc et Fabrice Ainaut pour superviser l’installation.
Pour Art Basel, avec l’intervention de la galerie Bugada & Cargnel, dans la section « Art Unlimited », Le Parc présente une Sphère rouge mobile de six mètres de diamètre.
Décès de Francisco Sobrino, ami de Le Parc depuis 1955, de l’académie des Beaux Arts de Buenos Aires et co-fondateur du GRAV.
Installation de la monumentale Torsion 1, Brickel Avenue, à Miami, commandée par Jorge Pérez.
Yamil Le Parc se rend à Inhotim, au Brésil, pour rencontrer Bernardo Paz, qui invite immédiatement Le Parc à lui rendre visite à son tour afin de concevoir un pavillon pour son grand musée à ciel ouvert. Le Parc réalise un projet de pavillon, qui sera réalisé.
Le France décore Le Parc de la Légion d’honneur.
Grâce à Estrellita Brodsky, la Salle de la Torture est présentée à New York en présence de l’artiste brésilien Gontran Guanaes Netto.
Avec Katrin Steffen, Buenos Aires, 2014
Avec Hans-Ulrich Obrist et Julia Peyton-Jones, Londres, 2014
Avec Jorge et Darlene Pérez, Miami, 2014
Avec Carlitos, Dante et Claudio, Buenos Aires, 2014