Le Parc participe à « The Illusive Eye » au Museo del Barrio, à New York.
Il participe à l’exposition collective internationale « Spielerei » au musée Schunck, aux Pays-Bas, dont le point de départ est le manifeste « Assez de mystifications » du G.R.A.V..
Pour la « 20 Bienal de Arte Paiz » au Guatemala, dédiée cette année à la figure du spectateur, et sous le commissariat d’Alma Ruiz, Le Parc autorise la reconstruction de certaines de ses œuvres et de celles du G.R.A.V. des années 1960.
Avec Alberto Biassi, Le Parc participe à l’événement « Illuminati da Nikola Tesla » au Castello di Boldeniga, à Brescia, en Italie.
Mort de François Morellet, ami et co-fondateur du G.R.A.V.. Quelques mois plus tôt, Le Parc lui rendait visite dans sa maison-atelier de Cholet, et passait la journée avec lui et sa famille. Rétrospectivement, cette journée apparaît comment une journée d’adieux.
Mort de Karen, la mère de Mateo et de Salvador, les petits-fils de Le Parc, fils de Gabriel — première et douloureuse mort dans la famille Le Parc.
À la demande de Jean de Loisy, commissaire de la Nuit Blanche, à Paris, Le Parc développe avec entrain un ambitieux projet pour le pont de Bir-Hakeim, au-dessus de la Seine. La réalisation reste en suspens mais le projet se poursuit.
Un livre édité par Actes-Sud et Hermès, intitulé Julio Le Parc, Variations autour de la Longue Marche, qui présente un texte-poème de Le Parc intitulé « Ma longue marche », est présenté à Paris.
Le Parc est sollicité par le CCK (Centre culturel Néstor Kirshner) de Buenos Aires pour que la Sphère Bleue, installée là-bas, y reste comme une œuvre permanente. Le Parc propose de donner l’œuvre en passant d’abord par une enquête auprès du public.
Contacté par la municipalité de Carboneras, en Espagne, Le Parc travaille à un projet de sculpture monumentale à l’entrée du village.
Le Parc inaugure la sculpture Hacia la luz, qui est réalisée par Dante, donnée par Le Parc et CityBank à la ville de Buenos Aires, et installée sur la place Rubén Dario.
Rutini, un important producteur de vin de la province de Mendoza, dédie à Le Parc une production de « vin Le Parc », dont la caisse de présentation est inspirée d’une œuvre de Le Parc.
Bernardaud (porcelaine de Limoges), après Chagall, Calder, Koons et d’autres, propose à Le Parc une collaboration pour différentes réalisations.
La galerie Perrotin (Paris, New York, Hong Kong, Séoul) le contacte. C’est le début d’une importante relation professionnelle, qui est inaugurée par une exposition personnelle dans la galerie Perrotin à New York, dans l’espace de Madison Avenue.
Répondant à une invitation du PAMM de Miami de 2014, pour une grande exposition personnelle, Le Parc réalise en 2015 en 2016 un intense travail de préparation, avec la précieuse collaboration d’Estrellita Brodsky (commissaire de l’exposition) et de Yamil Le Parc (conseiller artistique). Cette grande exposition rétrospective intitulée « Form into Action » est sa première exposition en Amérique du Nord qui inclut plus de cent œuvres produites par Le Parc entre 1958 et 2013, accompagnées d’un catalogue qui propose une étude profonde de l’œuvre de Le Parc en espagnol et en anglais. Cette exposition a lieu en novembre. C’est un grand succès auprès du public. Le soir du vernissage, Yamil donne un concert de tango.
Pour Art Basel à Miami — où Le Parc est représenté par la galerie Nara Roesler de São Paulo et par la galerie Perrotin — Le Parc participe à une conversation avec Estrellita Brodsky dans le grand auditorium de la foire. C’est l’occasion de fructueux échanges avec le public.
Gabriel Le Parc prépare un film sur l’exposition de Julio Le Parc au Palais de Tokyo.