1990
1991
1992
Nouveau voyage à Buenos Aires pour une exposition personnelle à la galerie Van Eyck, où il expose ses Alchimies. Visite à la Fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence à l’occasion de l’exposition « L’Art en mouvement ».
À la Foire internationale de Seville, Le Parc présente ses travaux de lumière au sein de l’exposition « Artistes latino-américains du XXe siècle ». Cette exposition voyage ensuite au Centre Pompidou, à Paris, sous le titre « Art d’Amérique latine 1911-1968 ».
1993
1994
Le Parc consacre beaucoup de temps à améliorer, rénover et agrandir son atelier de Cachan, faisant même une maquette. L’idée de faire un livre monographique sur son œuvre se précise. Il fait un travail de recherches de textes, de documents, de photos, qui serviront à réaliser une première maquette.
Réalisation d’un de ses projets pour le Schadow-Arkaden de Düsseldorf.
1995
1996
1997
Accompagné de Jean-Louis Pradel au centre culturel et à l’École des Beaux-Arts de Cherbourg, Le Parc transforme le catalogue de l’exposition en un petit livre intitulé Historieta. Il y publie un texte qui reprend ses idées sur le rôle de l’artiste dans la société, illustré de ses dessins. Pour un concert de Yamil au théâtre de Cherbourg, il réalise une intervention avec la lumière et le mouvement.
Le développement de ses recherches sur le thème des Alchimies est exposé dans différentes galeries d’Europe.
Il réalise une série d’expériences et de maquettes qui sont à la base de ce qui deviendra sa série Torsions.